C’est par ce texte clandestin de 1942, signé « le Témoin des Martyrs » que, dans toute la France, fut connu le crime de Châteaubriant. Aragon le rédigea sur la base des témoignages recueillis sur place et des lettres des internés.
Ce récit bouleversant a été lu à Radio Londres et à Radio Moscou et publié dans la presse alliée.