80e anniversaire – le 22 Octobre 1944,
80 000 personnes à Châteaubriant et autant à Nantes Dès le soir de la fusillade, ce 22 octobre 1941, des Castelbriantais vont dans la carrière selon
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Fou qui fait le délicat Ces deux phrases ont beaucoup été entendues en juin 2024 entre les deux tours des élections législatives, convo-quées à la
Mardi 2 avril 2024 de 18h00 à 19h30 à Nantes Archives de Loire-Atlantique 6, rue de Bouillé 44000 Nantes Samedi 6 avril à 15h
Récit d’Arsène TCHAKARIAN Dans son livre Les Francs-Tireurs de l’Affiche rouge, Arsène Tchakarian, le dernier survivant du groupe Manouchian, fait le récit des actions réalisées
La flamme de la Résistance ne s’est pas éteinte. Nous étions près de 3 000. Il y a 82 ans, 48 otages étaient fusillés par les
Rassemblons-nous nombreux lors des cérémonies commémoratives à Châteaubriant, Nantes et Indre Alors que les atteintes à la démocratie se multiplient, que les conquis de la
Le 22 octobre avant, pendant et après la cérémonie, la librairie de l’Amicale de Châteaubriant et le stand du Comité de Loire-Atlantique vous accueilleront et
Les circonstances dans lesquelles ce texte a été écrit sont maintenant connues: Dans les tout premiers jours de novembre 1941 , le jeune avocat Joë
Adrien AGNES (1899-1941) est un ingénieur agronome, chef de service à la mairie de Stains (93) où une rue porte son nom. II était domicilié à Aubervilliers. Le quai le long du canal Saint-Denis porte son nom. « La liste tragique n’est pas close » écrit-il : il a été fusillé à La Blisière, en Forêt de Juigné-les-Moutiers le 15 décembre 1941.
Le 22 octobre 1941 en début d’après-midi, lorsque les otages ont été regroupés dans la baraque 6, l’officier allemand a laissé le soin au sous-préfet de Châteaubriant Lecornu d’annoncer aux otages le sort qui leur était réservé. Il s’y est refusé, dit-il dans ses Mémoires et a demandé que le curé de Châteaubriant s’en charge. Celui-ci ayant refusé, c’est le curé de la paroisse de Béré qui a été conduit auprès des otages et leur a apporté son réconfort. L’archive que nous publions ci-dessous reproduit son témoignage.
Source : Archives départementales du Maine et Loire