
Guy MÔQUET
Le père de Guy Môquet, Prosper Môquet, syndicaliste cheminot, militant endurci, fut élu député en 1936 sous le Front populaire. Resté fidèle à la ligne

Le père de Guy Môquet, Prosper Môquet, syndicaliste cheminot, militant endurci, fut élu député en 1936 sous le Front populaire. Resté fidèle à la ligne

Son père, Charles, Joseph Bourhis, homme de gauche convaincu, devenu gendarme pour échapper au séminaire, était mal à l’aise dans l’exercice de ses fonctions. Il

Fils d’un manœuvre, Jules Auffret se fit embaucher à treize ans comme « mousse » dans les laminoirs de l’Usine métallurgique de la Basse-Loire. Il

Fils d’Émile David, chaudronnier à la Compagnie des chemins de fer d’Orléans, militant communiste de longue date du département de Loire-Inférieure (Loire-Atlantique) et dirigeant du

Fils d’un instituteur, Pierre Guéguin (souvent orthographié par erreur Guéguen), mobilisé avec la classe 1916, resta toute sa vie marqué par les effets de la

Avant-guerre, Maximilien Bastard travaillait à l’usine des Batignolles de Nantes (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) comme chaudronnier. Selon un procès-verbal d’interrogatoire de 1940, en janvier 1939, il adhéra

Fils de Julien Marie Le Panse, tailleur de pierres, et de Marie Perrine Burguin, ménagère, Julien Le Panse, peintre en bâtiment, était un militant de

Fils d’un aiguilleur aux chemins de fer qui avait quatre enfants, Raymond Laforge, élève du cours complémentaire de Malesherbes, entra à l’École normale d’instituteurs d’Orléans

Fils d’un plâtrier prénommé Eugène et d’une tailleuse, Jean Grandel, élève à l’École normale de Montpellier, titulaire du brevet supérieur, fut quelque temps enseignant (selon

Fils d’un manœuvre, Jules Auffret se fit embaucher à treize ans comme « mousse » dans les laminoirs de l’Usine métallurgique de la Basse-Loire. Il