
Bombardements des 16 et 23 septembre
Une Nantaise se souvient du déluge de fer et de feu Témoignage de Monique ARRADON sur les bombardements de Nantes Monique Arradon avait 12 ans
Une Nantaise se souvient du déluge de fer et de feu Témoignage de Monique ARRADON sur les bombardements de Nantes Monique Arradon avait 12 ans
Des jours sombres aux lendemains de la Libération (1940-1945) Nous mettons à votre disposition de nombreuses ressources sur le thème du Concours de la Résistance
Le 80ème anniversaire, qui avait rassemblé l’an dernier 6 à 8 000 personnes dans la carrière de la Sablière à Châteaubriant (Loire-Atlantique), n’était pas un point
81 ans après leur exécution, une plaque pour commémorer la mémoire de trois des vingt-sept fusillés du 22 octobre 1941 a été inaugurée le 22
Aragon. C’est en leur nom que je vous parle
Le 22 octobre 1941 en début d’après-midi, lorsque les otages ont été regroupés dans la baraque 6, l’officier allemand a laissé le soin au sous-préfet de Châteaubriant Lecornu d’annoncer aux otages le sort qui leur était réservé. Il s’y est refusé, dit-il dans ses Mémoires et a demandé que le curé de Châteaubriant s’en charge. Celui-ci ayant refusé, c’est le curé de la paroisse de Béré qui a été conduit auprès des otages et leur a apporté son réconfort. L’archive que nous publions ci-dessous reproduit son témoignage.
Source : Archives départementales du Maine et Loire
Choisel, le 22 octobre 1941 Ma petite chérie,Quand cette lettre te parviendra, je ne serai plus de ce monde. Je voudrais, avant de mourir, te
Châteaubriant, le 22 octobre 1941 Ma petite Lolo chérie,Je m’excuse de la peine immense que je vais te causer : je vais mourir. Otage des
Châteaubriant, le 22 octobre 1941. Chère femme et chers enfants, Je vous envoie ces derniers mots pour vous dire adieu. Car nous sommes une trentaine