Nous n’avons pas oublié
Plusieurs commémorations ont honoré le souvenir des FTP fusillés de 1943 Le 29 janvier 1943, plusieurs résistants, combattants FTP, jugés depuis le 15 janvier par
Des lieux emblématiques
Plusieurs commémorations ont honoré le souvenir des FTP fusillés de 1943 Le 29 janvier 1943, plusieurs résistants, combattants FTP, jugés depuis le 15 janvier par
Après des années de recherches et d’investi-
gations nous sommes en mesure de vous
présenter ce travail inédit certes, mais
encore fragmentaire puisqu’il ne concerne
« que » les sept Espagnols qui ont résidé,
résisté et ont été arrêtés en Loire-Inférieure
(Loire-Atlantique)
Le dimanche 10 février 2019, Gérard Roulic, administrateur du Comité Départemental du Souvenir des Fusillés de Châteaubriant et Nantes et de la Résistance en Loire-Inférieure
Plusieurs commémorations ont honoré le souvenir des FTP fusillés de 1943 Le 29 janvier 1943, plusieurs résistants, combattants FTP, jugés depuis le 15 janvier par
Le 22 octobre 1941, 48 otages étaient exécutés par les nazis, sur ordre d’Hitler. Six d’entre eux, fusillés au Bêle, à Nantes, ont été inhumés
Ne les oublions pas Initié dans le Castelbriantais, le parcours de la mémoire suit son chemin dans la région nantaise. Après Saint-Julien-de-Concelles, le 19 novembre
Photos Patrice Morel L’ Allocution J. Busson Monsieur le Maire, Monsieur le Préfet, Chères familles de fusillés, Mesdames et Messieurs les élus, Mesdames et Messieurs
Mardi 2 avril 2024 de 18h00 à 19h30 à Nantes Archives de Loire-Atlantique 6, rue de Bouillé 44000 Nantes Samedi 6 avril à 15h à Châteaubriant Médiathèque 6 place de Saint-Nicolas Conférence par Louis Poulhès, agrégé et docteur en histoire, ancien directeur régional des Affaires culturelles de Bourgogne. Les otages exécutés par les Allemands en 1941 à Châteaubriant sont bien connus. Tel n’est pas le cas de l’histoire du camp de Choisel où ils étaient internés, encore moins celle du camp de Moisdon-la-Rivière affecté aux nomades. C’est l’objet du livre, récemment publié, que son auteur présente aujourd’hui. Entrée libre Nous reproduisons ci-dessous un entretien avec l’auteur, publié dans UN AUTOMNE 41, bulletin du Comité départemental du souvenir des fusillés de Châteaubriant et Nantes et de la Résistance en Loire-Inférieure. A l’occasion de la parution de l’ouvrage de Louis Poulhès, Les camps d’internement de Châteaubriant. Choisel et Moisdon-la-Rivière, Atlande nous avons posé quelques questions à Louis Poulhès, déjà auteur des livres : Un camp d’internement en plein Paris. Les Tourelles 1940-1945 et L’Etat contre les communistes
Adrien AGNES (1899-1941) est un ingénieur agronome, chef de service à la mairie de Stains (93) où une rue porte son nom. II était domicilié à Aubervilliers. Le quai le long du canal Saint-Denis porte son nom. « La liste tragique n’est pas close » écrit-il : il a été fusillé à La Blisière, en Forêt de Juigné-les-Moutiers le 15 décembre 1941.
Le camp d’internement de Choisel L’existence des camps français entre 1938 et 1946 est peu connue. Des camps sont ouverts par le gouvernement Daladier pour regrouper les réfugiés espagnols fuyant le franquisme. Le décret-loi du 12 novembre 1938 prévoit l’internement des «étrangers indésirables». Il est élargi par la loi du 18 novembre 1939 qui permet l’internement « de tout individu, Français ou étranger, considéré comme dangereux pour la défense nationale ou la sécurité publique ». Choisel est d’abord un camp de prisonniers de guerre, à partir de la débâcle de juin 1940. Il s’agit du camp C du Frontstalag 183 A, installé sur le champ de courses de Choisel. Situé aux abords de Châteaubriant, (Loire-Inférieure), il s’étend sur 5 hectares. La ville – une sous-préfecture – compte de 8 à 9 000 habitants. Le 17 juin, les Allemands y font leur entrée, le soir à la radio, Pétain « le cœur serré », appelle à « cesser le combat ». Le 19 juin 1940, dès leur entrée dans Nantes, les Allemands font de très nombreux
Chères amies, chers amis, C’est avec une infinie tristesse que nous avons appris le décès d’Odette Nilès, survenu le 27 mai au moment où la journée nationale de la Résistance était célébrée dans de nombreuses localités. Née en 1922, sa vie entière, résumée dans la notice biographique du Maitron ci-jointe, a été consacrée à la défense de ses idéaux en faveur de la justice sociale, de la liberté, de l’égalité et de la paix. Jeune résistante communiste, elle connaît l’internement dans différents camps, dont celui de Châteaubriant où elle assiste avec ses camarades le 22 octobre 1941 au départ des 27 otages vers le lieu de leur martyr, et les combats de libération au sein des FTP. Elle succède à son mari Maurice Nilès comme présidente de l’Amicale de Châteaubriant-Voves-Rouillé-Aincourt, afin de perpétuer le souvenir de ses camarades de résistance et combattre sans relâche les idées de l’extrême-droite. La disparition d’Odette Nilès, dernière survivante du camp de Choisel à Châteaubriant, nous oblige à transmettre, plus encore, la mémoire des résistants et les valeurs de la
Les baraques du camp de Choisel en Châteaubriant (Loire-Inférieure). Années 1940-41
A la mémoire de Robert Cruau (12/3/21-6/10/43) Robert Cruau est né à Fégréac (Loire-Atlantique) le 12 mars 1921. Il rentre aux PTT, d’abord aux Chèques