La résistance

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Table des matières

Généralités

Les mouvements

Résistance communiste

L’expression « résistance communiste » pour désigner l’activité des communistes avant le 22 juin 1941, date de l’attaque de l’URSS par l’Allemagne nazie, est toujours

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Saint-Nazaire - La poche

La libération

Le CNR et son programme

Les étrangers

L'affiche rouge et les Républicains espagnols

La Chapelle basse Mer

Nous n’avons pas oublié

Plusieurs commémorations ont honoré le souvenir des FTP fusillés de 1943 Le 29 janvier 1943, plusieurs résistants, combattants FTP,  jugés depuis le 15 janvier par

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L'Affiche rouge

Enfin !

Le Comité du souvenir résistance 44 honore la mémoire de Missak et Mélinée Manouchian et de leurs camarades FTP Missak Manouchian entre au Panthéon avec Mélinée, l’ensemble

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Les jeunes dans la résistance

11 novembre 1940 : le drapeau tricolore flotte sur la cathédrale de Nantes !

Ce 11 novembre 1940, a une importance toute particulière. Non seulement le souvenir de la Première guerre mondiale est vif mais il s’agit du premier 11 novembre sous l’Occupation. Nantes vit à l’heure allemande depuis six mois. Les vaincus de 1918 décrètent, avec l’appro-bation des autorités « françaises » que ce 11 novembre ne sera pas férié et que tout ras-semblement sera interdit. C’est l’humiliation de trop ! Depuis l’été, différents signes montrent que tout le monde ne se résigne pas à l’Occupation, pas plus qu’à la Collaboration. Des papillons fustigent « le boche et le macaroni », le préfet signale des actes de sabotage de lignes téléphoniques militaires. Ces actes de refus s’inten-sifient à l’automne. Le 1er novembre, le commissaire principal signale au préfet la décou-verte de papillons « Vive de Gaulle » collés sur les devantures de magasins du centre ville. Le même jour des incidents – des sifflets du public – se sont produits au cinéma Olympia pen-dant les actualités allemandes. Le lendemain, il rend compte de « faits qui dénotent l’esprit

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Il y a 22 ans, le 11 novembre 1918, la France était dans la joie de l’Armistice et de la Victoire. Chaque année, depuis cette date mémorable, le pays tout entier célébrait le 11 novembre. La France n’évoquait pas seulement, en ce jour, la victoire, mais elle honorait les héros qui avaient donné leur vie pour que ceux qui viendraient derrière eux puissent vivre dans la liberté et dans la paix. Etudiants, étudiantes, il faut, malgré l’interdiction donnée, célébrer cette année aussi le 11 novembre. N’assistez pas au cours lundi prochain. Ce sera une manifestation qui produira son effet sur l’esprit boche. Il faut que nous résistions passivement ; un jour viendra où nous pourrons changer de méthodes et célébrer à nouveau le 11 novembre. Nous espérons que notre appel sera entendu et nous vous en remercions pour les vrais Français qui n’oublient pas ceux qui ont travaillé et qui ont fait leur devoir pour eux.

Les femmes dans la résistance​

Droit de vote des femmes

Les cinquante otages

L’Histoire entre en scène

La pièce Les 50 à Saint – Etienne – de – Montluc vendredi 19 janvier à 20h00                       Espace Montluc, rue de la Guilletière                LES 50Théâtre d’ici ou d’ailleurs / Tout public Tout le monde connaît la lettre de Guy Môquet, mais très peu connaissent l’histoire des 50 otages. Qui étaient ces 50 Otages fusillés à Châteaubriant et Nantes le 22 octobre 1941 ? Que s’est-il réellement passé, dans quelles circonstances ? Ces otages, d’où venaient-ils, pourquoi ont-ils été choisis par le gouvernement de Vichy et les Nazis en 1941? Cette pièce de théâtre nous replonge dans la vie des 50 otages, tout en voyageant joyeusement dans le temps et dans les lieux. Le chant et la musique s’invitent librement au voyage dans un parti pris poétique très vivant. L’histoire de ces résistants hommes et femmes nous émeut, nous bouleverse. Subissant la période très noire du nazisme, ces 48 fusillés n’ont pas baissé les bras. Ils aimaient la VIE.Ce spectacle qui vient de faire un triomphe au Théâtre de la Belle Etoile à Saint-Denis (93) sera présenté par

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Octobre 1941 – octobre 2023

Rassemblons-nous nombreux lors des cérémonies commémoratives à Châteaubriant, Nantes et Indre Alors que les atteintes à la démocratie se multiplient, que les conquis de la Résistance – et dernièrement les retraites – sont systématiquement remis en cause, alors que les déformations de l’Histoire sont en vogue, que le fond de l’air est brun et que les bruits de bottes se font entendre encore aux portes de l’ Europe et ailleurs dans le monde, les rassemblements organisés à l’occasion du 82ème anniversaire de l’Octobre sanglant de 1941 ne constitueront pas seulement un hommage aux fusillés, mais aussi une réponse à cette dérive et une manifestation de notre conviction que « résister se conjugue au présent ». Le programme des initiatives L’Amicale Châteaubriant-Voves – Rouillé – Aincourt, organisatrice avec le Comité départemental du souvenir et ses comités locaux de Châteaubriant et d’Indre a conçu un programme comprenant de nombreuses initiatives. 14 octobre – Saint-Herblain – 17h, bibliothèque Paul Eluard, avenue des Plantes rencontre avec l’historienne Dominique Comelli autour de la BD Immortels ! sur les 50 Otages 15 octobre –

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LES 50 OTAGES

Ceux de Nantes Le 23 octobre 1941, en ouvrant leur journal quotidien, validé par la Propaganda Staffel, les Nantais découvrent l’avis publié par le Militärbefehlshaber  Otto von Stülpnagel. Le commandant des troupes allemandes annonce l’exécution la veille de 48 otages en représailles à la mort du Feldkommandant Hotz, abattu le 20 octobre. Plus tard dans la journée, une affiche recouvre les murs de la ville. La liste (ci-dessous dans L’OEuvre) comprend 19 noms d’otages « de Nantes », 1 de Saint-Nazaire, 1 de Saint-Herblain. La veille en fin d’après-midi, 16 ont été fusillés au champ de tir du Bêle, 5 au Mont-Valérien près de Paris et 27 dans la carrière de La Sablière à Châteaubriant soit 48 noms au total. Ceux de Nantes, qui sont-ils ? Ce sont des anciens combattants de la guerre 1914-1918, regroupés derrière Léon Jost, président-fondateur du comité d’entente des associations d’anciens combattants créé en 1932, fort de 60 000 adhérents, unis par le serment de Verdun pour « travailler à la paix des vivants ». Le 19 juin 1940, Nantes, déclarée « ville ouverte » par les autorités locales, tombe

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Hommage à six des 48 Otages fusillés le 22 octobre 1941et inhumés à Basse – Goulaine

Le 22 octobre 1941, 48 otages étaient exécutés par les nazis, sur ordre d’Hitler. Six d’entre eux, fusillés au Bêle, à Nantes, ont été inhumés anonymement, au cimetière de Basse-Goulaine. Le 17 juin 2023, la Ville et le Comité du souvenir ont organisé une cérémonie lors de laquelle une plaque, pour ne pas les oublier, a été dévoilée, au cimetière du bourg. Rappelons le contexte. Le 20 octobre 1941, le lieutenant-colonel Karl Hotz, chef des troupes allemandes d’occupation à Nantes, est abattu par un commando de résistants communistes. En représailles, Hitler exige l’exécution de 50 otages. Quarante-huit seront finalement fusillés le 22 octobre 1941 : 27 dans la carrière de la Sablière, à Châteaubriant : 16 au champ de tir du Bêle, à Nantes et cinq au Mont Valérien (Hauts-de-Seine). Pour éviter tout recueillement sur les tombes, et toute manifestation d’hostilité à leur égard, les Allemands ont choisi de disperser les corps dans des communes éloignées de Châteaubriant et de Nantes, lieux des exécutions et, à l’époque, mal desservies par les transports. Les cercueils portaient un simple numéro, sans nom.

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HAUTE-GOULAINE

Ne les oublions pas Initié dans le Castelbriantais, le parcours de la mémoire suit son chemin dans la région nantaise. Après Saint-Julien-de-Concelles, le 19 novembre 2022, c’est à Haute-Goulaine qu’une plaque a été posée à l’entrée du cimetière le 1er avril. Nous étions une centaine, malgré une météo peu engageante, pour ne pas oublier. Après le mot d’accueil du maire Fabrice Cuchot et en présence de Julie Voleau, conseillère départementale, le cortège conduit par les porte-drapeaux s’est recueilli, à l’intérieur du cimetière, devant la stèle aux Otages inhumés le 22 octobre 1941. Six résistants exécutés au stand de tir du Bêle à Nantes ont en effet été inhumés anonymement dans le cimetière de cette commune, quand d’autres l’étaient au même moment à Saint-Julien-de-Concelles et Basse-Goulaine dans ces communes éloignées de Nantes, mal desservies à l’époque par les transports, afin d’empêcher les pèlerinages. A la Libération, les tombes ont pu être identifiées et les corps ont été transférés dans des cimetières choisis par les familles dont celui de La Chauvinière à Nantes. Des obsèques solennelles avaient

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Châteaubriant : Pas de point d’orgue après le 80ème anniversaire, mais un point d’honneur mis à poursuivre le travail de mémoire

Le 80ème anniversaire, qui avait rassemblé l’an dernier 6 à 8 000 personnes dans la carrière de la Sablière à Châteaubriant (Loire-Atlantique), n’était pas un point final. 2000 personnes y étaient de nouveau présentes le dimanche 23 octobre 2021, lors de la cérémonie commémorative. Il y a 81 ans, le 22 octobre 1941, 27 hommes étaient exécutés par les nazis en ces lieux. Ils étaient internés dans le camp de Choisel, à quelques kilomètres de là depuis le printemps 1941 et y étaient arrivés après un pénible périple  dans diverses prisons. Syndicalistes de la CGT au plus haut niveau  ou élus communistes, nombre d’entre eux avaient été arrêtés lors de la grande rafle organisée en octobre 1940 par la police de Pétain en accord avec les autorités allemandes d’Occupation. L’octobre sanglant de 1941, un tournant Leur exécution, en même temps que celle de 16 otages au stand de tir du Bêle à Nantes et 5 otages originaires du département au Mont-Valérien soit 48 otages au total : « Les 50 Otages », a été décidée au plus haut niveau

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Villepot rend hommage à trois fusillés de l’Octobre sanglant 1941

81 ans après leur exécution, une plaque pour commémorer la mémoire de trois des vingt-sept fusillés du 22 octobre 1941 a été inaugurée le 22 octobre 2022 à Villepot (Loire-Atlantique) dans le cadre des cérémonies du 81e anniversaire du massacre d’octobre 41. Ils s’appelaient Edmond Lefebvre, Henri Pourchasse et Jean Poulmarc’h.(liens vers leurs biographies) Tous trois syndicalistes et communistes, ils avaient été arrêtés lors de la grande rafle d’octobre 1940 opérée par la police de Pétain, en accord avec les autorités allemandes, puis détenus dans différentes prisons avant d’être internés administrativement  dans le camp de Choisel à Châteaubriant. Vingt-sept otages avaient été désignés par le Commandant militaire allemand en France Otto von Stülpnagel à la suite de l’une des premières actions armées de la Résistance, lorsque le 20 octobre trois jeunes résistants communistes ont abattu le Feldkommandant Hotz à Nantes. Choisis sur une liste transmise par le ministre de l’intérieur de Pétain, Pierre Pucheu, les 27 fusillés dans la carrière de La Sablière en Châteaubriant dans l’après-midi du 22 octobre 1941 ont été inhumés le

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Les cinquante otages

Les 50 otages, fusillés par les nazis – Les 48 qui furent fusillés par les Allemands le 22 octobre 1941 La liste fut établie par le Commandant militaire de la Wehrmacht en France Stülpnagel, avec la complicité active de Pucheu ministre de l’Intérieur, son chargé de mission Chassagne … du gouvernement de Pétain. Ceux de Châteaubriant fusillés le 22 octobre 1941 à la Sablière: Charles MICHELS, de Paris, communiste, secrétaire général de la Fédération du Cuirs et peaux, député de Paris, 38 ans Jean POULMARC’H, d’Ivry-sur-Seine, communiste, secrétaire général du syndicat de la chimie de la région parisienne, 31 ans Jean Pierre TIMBAUD, de Paris, communiste, secrétaire général de la Fédération de la Métallurgie. 38 ans Jules VERCRUYSSE, de Paris, communiste, secrétaire général de la Fédération des Textiles. 48 ans Désiré GRANET, de Vitry-sur-Seine, communiste, secrétaire général de la Fédération des Papiers et cartons. 37 ans Maurice GARDETTE, de Paris, artisan, conseiller municipal communiste de Paris 11ème, 49 ans Jean GRANDEL, de Gennevilliers, secrétaire de la Fédération postale CGT, maire communiste de Gennevilliers et conseiller

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